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Mes derniers souhaits

Un livret pour exprimer ses derniers souhaits

Le Service des pompes funèbres, cimetières et crématoire publie un livret intitulé «Mes derniers souhaits» permettant d’exprimer ses désirs en lien avec son décès. Pour les proches, ce document, simple et pratique, constitue aussi une aide à la prise de décisions suite à un décès. 

Toute personne peut laisser, de son vivant, des instructions en vue de son décès et de l’organisation de ses obsèques. Penser à sa mort, c’est déjà une manière de l’apprivoiser.

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Vincent Lambert, par Xavier Bazin

Cher(e) ami(e) de la Santé,

« Ce que m’a dit mon patient m’a totalement stupéfié ». Voilà ce qu’a déclaré le Dr Richard Mansfield, grand cardiologue, encore sous le choc. Son patient est un jeune homme de 32 ans, victime d’un arrêt cardiaque.
Quand il arrive aux urgences, il ne respire pas, et son cœur ne bat plus. Son électrocardiogramme (ECG) est plat.
Ses chances de survie sont infimes, mais le Dr Mansfield fait tout pour le sauver. Vite, il intube le jeune homme, lui donne de l’oxygène, et lui fait un massage cardiaque. Les minutes passent… une demi-heure au total… sans résultat.
Pour le Dr Mansfield, il est inutile de s’acharner : le jeune homme est mort. Il sort de la chambre pour rédiger le rapport de décès. Soudain, il a un doute sur le nombre d’ampoules d’adrénaline injectées au patient.
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Les médecins ont-ils le droit de mentir ?

Chère lectrice, cher lecteur,

Le philosophe Vladimir Jankélévitch disait aux médecins :

« Quand vous dites à quelqu’un qu’il a une maladie mortelle, vous mentez, car vous n’en savez rien. Un homme n’a pas le droit de condamner un autre homme…

Ce qu’il y a de plus important pour vous, médecins, c’est la prolongation de l’être, vous n’existez que pour cela ; il n’y a pour vous qu’un seul impératif, c’est d’entretenir l’espérance. »

Ainsi justifiait-il le fait de mentir aux malades, c’est-à-dire de ne jamais dire à un patient qu’il est « condamné », qu’il est sûr de mourir.

Pourquoi ?
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La fin de l’Alzheimer

Après des années de recherche, le Dr Dale Bredesen et son équipe de l’université de Californie ont mis au point un programme global qui permet à de nombreux malades souffrant d’Alzheimer et de déficit cognitif de retrouver leur capacité à se souvenir, à penser, à mener de nouveau une vie normale.

En ciblant un à un les multiples facteurs responsables de la maladie, en intervenant sur l’alimentation, le statut hormonal, l’inflammation, les toxiques, l’activité physique… ReCODE donne des résultats impressionnants:

Sur les 10 premiers patients du Dr Bredesen ayant suivi quelques mois le protocole ReCODE, 9 ont connu des améliorations significatives, souvent spectaculaires. L’étude est parue en 2016 dans Aging. Depuis, ReCODE a bénéficié à des centaines de patients : plus de la moitié n’ont plus aucun symptôme.
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L’Alzheimer et le déni de la mort

Article trouvé dans la revue « NÉOSANTÉ » du 21.3.2018 proposant un point de vue intéressant sur la maladie d’Alzheimer.

Il y a trois mois, lors de notre traditionnelle journée Portes Ouvertes, j’ai été abordé par une gentille dame,  dans la septantaine,  qui voulait me demander conseil à propos de son mari affligé de plusieurs maladies. Si je me souviens bien, cet homme souffrait à la fois d’arthrose, de diabète, d’hypercholestérolémie et d’un probable début d’Alzheimer car, me dit son épouse, il « commençait à perdre la tête ».  Malgré qu’il soit suivi par « des sommités médicales dans des hôpitaux réputés », ses traitements étaient inopérants et son état s’aggravait de jour en jour. Après ma mise au point habituelle (je ne suis pas médecin et  je ne donne pas de conseil d’ordre médical), j’ai simplement fait deux suggestions hygiénistes, celle de privilégier une alimentation de type paléo/cétogène et celle de pratiquer une activité physique soutenue. J’insistai particulièrement sur ce deuxième  point car les maux du mari étaient  de ceux qui s’accentuent par la sédentarité et qui s’améliorent souvent par le mouvement.  Comme la visiteuse restait silencieuse, je lui demandai à quel genre d’exercices s’adonnait son époux et elle me répondit tout bas qu’ « il marchait quotidiennement dans l’appartement ». Interloqué, je m’enquis alors de son âge : « 93 ans, me dit-elle, il a presque  20  ans de plus que moi ». Là, c’est moi qui me suis tu, car je préfère me taire que de blesser autrui par des réflexions maladroites. C’est intérieurement que j’ai pensé : mais pourquoi diable cet homme si âgé n’accepte-t-il pas son âge et les inévitables outrages de la vieillesse ? Pourquoi, alors qu’il a déjà allègrement dépassé l’espérance de vie masculine en Belgique, ne se prépare-il pas sereinement pour le dernier voyage  au lieu de « courir » les cabinets médicaux et les cliniques ? Serait-ce la peur de mourir ? Et celle-ci serait-elle liée à la démence sénile ?
Pour moi, cette dernière question n’est plus une interrogation : je suis persuadé que la maladie d’Alzheimer trouve sa cause dans la peur du trépas et  l’inacceptation de l’inéluctable. Lire la suite »L’Alzheimer et le déni de la mort

Que faut-il faire après la mort?

Suite à ma lettre sur l’accompagnement d’un être aimé dans ses derniers instants, j’ai reçu de nombreux remerciements de lecteurs qui ont traversé, ou traversent, cette douloureuse épreuve. Et beaucoup me demandent maintenant des conseils sur ce qu’il faut faire après la mort.

Ce sujet est très délicat car il dépend des circonstances du décès et des liens que l’on avait avec la personne décédée. Néanmoins, je vais essayer de donner quelques pistes. Et je vais partir malheureusement, de ma propre expérience. Pardonnez-moi si ce que je vous dis ne s’applique pas à votre cas.
Valérie et moi avons perdu il y a six ans notre fille aînée Sandrine. Elle avait 12 ans.

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Programme d’animation « Marguerites »

But du programme

La fondation Atlas a créé un nouveau programme d’animation, le programme Marguerites, dans le but « d’aider des femmes seules à sortir de l’isolement, des femmes sans famille proche, ayant des problèmes de mobilité physique ou toute autre difficulté à se déplacer, et en règle générale domiciliées dans le canton de Genève». Pour connaître les activités proposées pour les mois d’avril à septembre 2019 cliquez programme d’animation Marguerites.

Ces animations sont offertes par la Fondation Atlas, mais les places sont limitées et il est donc nécessaire de s’inscrire à chaque fois. Aussi nous vous recommandons de vous inscrire simplement, le plus vite possible aux heures de bureau au numéro de téléphone suivant :

022 919 95 95

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